Arrivés, un soir des années 1970, dans un hôtel en bord de mer, à l’étranger, nous sommes descendus tôt le lendemain matin, déjà en tenue de plage pour traverser le boulevard : moi en slip, Christine avec un string qui ne devait guère peser plus de 10 grammes, dégageant totalement les fesses et ne cachant guère plus d’un décimètre carré de son pubis entièrement lisse ; avec un symbolique soutien-gorge sur sa poitrine de fille à peine pubère — sa poitrine, pas Christine qui avait 25 ans.

À huit heures du matin, il n’y avait pas encore foule sur la plage, mais le string de ma partenaire attirait tous les regards. Après avoir nagé quelques minutes, je suis venu me coller contre le corps de ma salope, ma bite lui caressant le ventre, nos salives se mêlant.

Quelques minutes plus tard, ayant perdu, ou dégrafé, le brin de tissu qui lui barrait les seins, Christine fut le centre du monde. Un ado vint lui parler, d’autres s’approchèrent, un groupe l’entoura. Sachant que les ados ne l’intéressaient pas mais que cela la flattait, j’ai laissé faire.

Un maître-nageur arrive, écarte les jeunes, manifeste une évidente convoitise.

Christine l’attire, d’une main elle le colle contre elle, son autre main glisse dans le slip du mâle, ils tombent sur le sable ; la chatte en chaleur avale la bite qui la pilonne frénétiquement, fascinant spectacle. Notre groupe attirant l’attention d’un deuxième maître-nageur, Christine lui tend la main, le premier s’écarte, le deuxième la ramone à son tour, tout aussi violemment mais c’est bon pour ma femelle qui, ce matin, n’a pas envie de douceur. Une dernière secousse, l’homme reste couché sur la Parisienne qui, en voulant encore, tend à nouveau la main, cette fois vers moi ; mon slip tombe à terre, je m’allonge au-dessus d’elle qui lève les jambes vers le ciel, dégageant ses cuisses.

« Par derrière », me dit-elle. Je sais que, bien excitée, elle aime aussi se faire enculer, le sperme coulant de sa chatte lui a déjà lubrifié le cul, je la pénètre par-là, je la ramone sous les regards de spectateurs passionnés, décharge à mon tour.

Un autre maître-nageur arrive, Christine ouvre de nouveau les cuisses pour lui : son ventre a encore faim d’une bite. Son officiant lancé dans un rythme frénétique, elle le ralentit, regarde le cercle des têtes qui nous entourent ; je sais qu’elle jouit de s’exhiber.

L’un des deux premiers moniteurs lui dit un mot à l’oreille ; elle rit : « Il m’a demandé s’il pouvait t’enculer, je lui ai dit que oui ». Demandé avec tant de gentillesse, cela ne se refuse pas et, moi aussi j’adore m’exhiber. Me faire dilater le fion en public sur une plage, cela ne m’était encore jamais arrivé. Je m’allonge sur le ventre, des mains m’écartent les fesses, deux doigts envahissent ma bouche, une bite s’insinue dans mon cul, ils s’y sont mis au moins à deux.

Me faire ainsi empapaouter en public m’excite. Comme j’avais déjà l’habitude de m’enfourner dans le fondement tout ce qui me tombait sous la main, on ne peut pas dire qu’une bite me dilatait vraiment l’œillet du cul. Christine se délecte du spectacle que je lui offre ; lorsque la bite de mon assaillant décule, elle la prend en bouche : elle sait que j’aime voir sucer une bite sortant des entrailles.

D’autres spectateurs voudraient s’occuper de nous mais nous avons besoin de repos ; ma femelle ayant promis aux maîtres-nageurs de revenir les voir, ils nous accompagnent, arrêtant la circulation pour nous permettre de traverser tranquillement le boulevard.

Des regards s’attardent sur la poitrine de Christine dans le hall de l’hôtel, retour à la chambre, tendre baise, sieste réparatrice en vue d’autres plaisirs.